Une histoire de tétine, un chien et un incident narrée dans une comédie romantique de Movistar Plus+, recommandée par une majorité de personnes.

« Colin de cuentas », la série romantique australienne proposée par la plateforme de vidéo à la demande de Movistar Plus+, promet une approche humoristique et inattendue de l’amour et de la comédie romantique. Exploration décalée des échecs amoureux, elle s’avère aussi distrayante que touchante.

Le mois de l’amour avec Movistar Plus+

Le mois de février, souvent associé à l’amour en raison de la Saint-Valentin, est célébré de manière particulière sur la plateforme de vidéo à la demande (VOD) de Movistar Plus+. Que vous soyez un fervant adepte du romantisme ou que vous considériez que la Saint-Valentin est une simple opération marketing, cette plateforme propose une offre unique pour raviver votre foi dans les comédies romantiques.

L’intrigue de la série « Colin de cuentas »

Cette offre unique se présente sous la forme de la série australienne « Colin de cuentas ». C’est une comédie typique du genre « garçon-rencontre-fille », mais avec une tournure inattendue. En effet, lors de leurs première rencontre, il se produit un évènement malheureux : un adorable chien est renversé par Gordon (Patrick Brammall) sous les yeux d’Ashley (Harriet Dyer). Cet incident conduit les deux personnages à une clinique vétérinaire où ils commencent à se connaître et à se rapprocher, partageant leurs défauts, mais aussi leurs traits d’humour.

Une approche nouvelle de l’amour

La série explore d’une manière humoristique et décalée l’autre facette de l’amour qui est souvent omise dans les fictions romantiques traditionnelles. Les thèmes de la peur de l’engagement, de l’indépendance dans l’amour, de l’amour-propre et des avantages du célibat sont habilement tournés en dérision. La critique tant nationale qu’internationale a été clémente avec cette fiction créée par Patrick Brammall, qui est également à l’origine de la série américaine « No activity ». Certaines sources la décrivent comme une tentative de se rapprocher du style humoristique de Nora Ephron, tandis que d’autres, comme The Times, saluent son caractère imprévisible.

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Laura

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